Les experts et opposants institutionnels
- La SPPEF (Sites et Monuments) qui évoque le massacre des terres agricoles du Valois
- Le CSRPN (Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel) compte tenu de la menace sur le bio-corridorde Roberval :
avis 2009-3 : "L'appréciation des enjeux environnementaux à leur juste
mesure lors de la phase de prospection aurait du conduire à l'abandon du site de Verberie"
avis 2009-4 : "Le corridor de Roberval-Verberie constitue l'unique goulet
d'étranglement s'inscrivant dans une continuité écologique s'étendant sur près de 150 km entre les forêts du nord de
l'Ile de France jusqu'en forêt de Saint-Gobain (Aisne)"
- Le Parc Naturel Régional Oise-Pays de France qui a émis un avis TRES DEFAVORABLE, car il y voit une remise en cause de son statut même.
- la Fédération des Chasseurs de l'Oise: "sauvegarder la biodiversité"
- Que Choisir: une "aberration écologique"
- Et tout simplement l'avis DEFAVORABLE du commissaire enquêteur, à l'issue de l'enquête publique sur la modification du Plan Local d'Urbanisme (PLU) de Verberie.
Les soutiens politiques
Juin 2009 : du Parlement Européen à notre région, 22 élus opposés à la centrale signent une lettre ouverte.
Février 2010 : Le Conseil Général de l'Oise vote une motion opposée au projet.
Mars 2010 : les candidats aux élections régionales de Picardie s'opposent au projet de centrale :
Les unes après les autres, les communes et communautés de communes de la région délibèrent en conseil
contre le projet :
- Les communes proches : St Vaast de Longmont, St Sauveur, Rhuis, Villeneuve-sur-Verberie, Roberval
- Début 2010, les villes de la région : Senlis, Pont-Sainte-Maxence
- A l'unanimité le 14 juin 2010, les 13 communes de Coeur-Sud-Oise
- Fin 2010, la ville de Lacroix-St-Ouen en octobre, puis St Jean-aux-Bois en décembre
- En mai 2011, les communes de Venette et Lachelle.
Sur la carte de la région les 5 maires supporters du projet sont de plus en plus isolés